« J’étais sûre de vouloir travailler dans l’image, mais je ne savais pas exactement où, raconte Nadège Abadie, photographe de 25 ans, récemment diplômée de l’Ecole nationale supérieure Louis-Lumière. Faire une école m’a permis de trouver ma voie. »
Qu’elles soient publiques ou privées, qu’elles coûtent 600 ou 18.000 euros par an, qu’elles accueillent des étudiants à la sortie du lycée ou à bac +3, toutes les formations ont pris en compte les mutations du métier de photographe, liées à l’arrivée du numérique. La plupart préparent aussi bien à la prise de vue qu’aux professions « périphériques » de la photographie, dont le champ ne cesse de s’étendre. Chaque année, ils sont environ 400 –dont de plus en plus de femmes– à sortir de la quinzaine d’écoles spécialisées.
Côté prise de vue, toutes forment à la photographie de studio. Une fois les techniques de base acquises, les étudiants apprennent à construire et à organiser une image, à maîtriser la lumière naturelle ou artificielle et à préparer un plateau. En sortant de l’école des Gobelins [Paris], de Spéos Paris Photographic Institute [Paris], du Centre Iris [Paris] de l’ETPA [Toulouse], d’Icart-Photo [Paris] ou de l’Efet [Paris], les jeunes professionnels, rompus au portrait ou à la nature morte, pourront se diriger vers la publicité, l’édition, l’industrie, la communication ou la mode. D’autres établissements privilégient un enseignement plus artistique. […]
Article publé le samedi, mai 25th, 2013 dans la rubrique A la une, Dossier de presse, Ecoles, La sélection, Slideshow avec les mots-clés Ecole, Photographie, Photojournalisme, Transmédia, Université. Vous pouvez suivre les réponses grâce au flux RSS 2.0.
Powered by WordPress
Developped by To Be Web
Design by Graph Paper Press
Abonnement articles
Abonnement commentaires
All content © 2021 by